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Le charme de Prague est cependant renforcé par les cicatrices de l’histoire.

La ville n’est pas un musée à ciel ouvert, elle est vivante et réserve de nombreuses surprises au visiteur attentif. La période communisme, derrière le rideau de plomb a laissé quelques traces…

Des immeubles soviético-laids, poussés comme par enchantement autour de jolies maisonnettes… Un énorme métronome, construit pour remplacer une statue déboulonnée de Staline… Ou encore un Monument aux Victimes du communisme, effrayant comme un film de zombies. Mais ces ruptures architecturales ne font que mettre en valeur l’extraordinaire patrimoine de la ville.

Il y a comme un truc au fond de mon jardin…

 

 

 

 

 

 

Pour faire court : ami touriste, tu n’as pas fini de faire le tour de la ville. Oh que non.

Prépare tes baskets, “viens, c’est sympa tu verras !” (oups non c’est pas ça).

Parce qu’à “Praha” comme on dit là-bas (rien à voir avec le couscous, encore moins avec la choucroute) le touriste, et le pas touriste aussi d’ailleurs, marche. Beaucoup. Longtemps. Loin. Et le soir, le touriste épuisé mais heureux enlève avec une grimace doublée d’un soupir de soulagement (car le touriste est polytâche) ses chaussures. Car il a vraiment, vraiment beaucoup trotté.

Bon, il faut préciser que l’architecture (gothique, baroque, cubiste, Art Nouveau, il y en a pour tous les goûts) n’est pas le seul plaisir de Prague. Après l’effort, le réconfort, j’ai nommé : la bouffe.