Et pour finir… le dernier épisode de notre série printanière
Ou plutôt pour commencer, puisque nous sommes loin d’avoir fait le tour des charmes et des mystères de Prague, quelques informations diverses et variées. |
Ou plutôt pour commencer, puisque nous sommes loin d’avoir fait le tour des charmes et des mystères de Prague, quelques informations diverses et variées. |
Les bars |
Mais élevons un peu le débat voulez-vous ?
Café Louvre et consorts |
Mouais bon c’est pas tout ça, on fait la fête ou quoi ?
Dancing Queen |
Et pour finir la soirée, voire entamer la journée, pourquoi ne pas se perdre dans les petites rues de la ville ? Avec un peu de chance, vous croiserez d’autres personnes, vous vous ferez des amis, ou vous trouverez un endroit calme pour méditer, parce que c’est ça la beauté de Prague : quelle que soit l’heure, il y a toujours un truc marrant à faire (ou à voir).
L’équivalent tchèque de notre « Métro, boulot, dodo » résume bien la situation. La nourriture, c’est toute une histoire. Et c’est du sérieux. |
Hospoda, Restaurace : les restaurants |
Morceaux choisis |
Il faut cependant se méfier, car le dessert dans les restaurants peut se suffire à lui-même : en effet, les tchèques peuvent se contenter de prendre une douceur en guise de repas. L’indigestion guette le touriste gourmand et mal informé…
Pour faire court : ami touriste, tu n’as pas fini de faire le tour de la ville. Oh que non.
Prépare tes baskets, “viens, c’est sympa tu verras !” (oups non c’est pas ça).
Parce qu’à “Praha” comme on dit là-bas (rien à voir avec le couscous, encore moins avec la choucroute) le touriste, et le pas touriste aussi d’ailleurs, marche. Beaucoup. Longtemps. Loin. Et le soir, le touriste épuisé mais heureux enlève avec une grimace doublée d’un soupir de soulagement (car le touriste est polytâche) ses chaussures. Car il a vraiment, vraiment beaucoup trotté.
Bon, il faut préciser que l’architecture (gothique, baroque, cubiste, Art Nouveau, il y en a pour tous les goûts) n’est pas le seul plaisir de Prague. Après l’effort, le réconfort, j’ai nommé : la bouffe.